Et voilà. Aurore est malade, et au vu des antécédents familiaux sur ces dernières semaines, on va dire que c'est la grippe. (Vous avez vu ça, je peux vous diagnostiquer une grippe en moins de trois secondes, aussi sûr que Dr House peut vous trouver un lupus d'un seul coup d'œil...).
Il ne reste donc plus que moi.
Et j'ai l'impression que le virus me regarde en me narguant, comme un vautour posé sur mon épaule, qui me dévisagerait en salivant, se régalant à l'avance du festin qui l'attend.
C'est ça. Je dois être le dessert de ce virus. Sa cerise sur son gâteau...
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